Esprit étroit

Vous trouverez ci-dessous le courrier déposé par la police municipale chez les habitants du pont et signé par Noel Ségura .

Ca vole pas haut comme vous avez pu le constater ! Outre son sempiternel argument sur la politisation des luttes au pont et contre le PLU, la pseudo manipulation par une armée de revanchard il manipule la vérité. L’absence de classement en zone non constructible des terrains non encore dévastés, saccagés, massacrés au pont reste une porte ouverte au 350 logements.

Jamais ce petit esprit ne pourra admettre que des citoyens puissent simplement se mobiliser contre le massacre d'espaces naturels ou des aberrations urbanistiques. Pour plaire à Ségura il faudrait se coucher devant sa mégalomanie et le dictât imposé par GGL ! Qu'ils ne comptent pas sur nous !

Je ne savais pas que le patron de GGL, avait grade de général. C'est l'ancien chef de Poitevin ? Parce que quand Ségura parle d'intérêt général il parle, à n'en pas douter de celui de GGL.

Petite question : puisqu'il parle d'intérêt du général il sait de quoi il parle le Ségura : où bosse son beau fils, ses 2 belles sœurs, où habitent sa fille et où bosse madame la reine de la clowntry ?

Et quand il parle de concertation, il nous prend pour des cons, ça c'est sur !

Et que dire de la menace claire : si le recours contre le PLU abouti je ferai les 350 logements !!!! C'est simplement honteux et minable. Mais rien d'étonnant connaissant ce triste personnage.

Et que dire de cette volonté de continuer à dresser les villeneuveois les uns contre les autres ? Il fait ainsi le lit de Ruiz !

Bref, elle est juste lamentable cette lettre

Comments

[SIM ONE]

Oui A.L.cette affaire, tant qu'elle sera traitée sur le plan local, avec des locaux ,sera verrouillée. Exemple la D.D.T.M. traine les pieds. Vous dites bizarre? Sans faire de procès d'intention on comprend très bien d'où émane toute cette mauvaise foi pour ne pas dire mauvaise volonté Pour de la philanthropie lucrative c'est de la philanthropie lucrative vous avez raison



Une seule solution porter cette affaire sur le plan national. Les députés sont là pour ça.!



HAUT LES COEURS ( J - 146 )

[a.l.]

Ce qui est rageant dans cette lutte du pot de fer contre le pot de cristal c'est que pot de fer ne pouvait ignorer que l'urbanisation à la c.. se situe au coeur d'une ZNIEFF de type 1, c'est à dire avec une faune et et flore particulièrement protégées, et que la DREAL qui n'a pas été soumise à une demande de dérogation considère inadmissible ses travaux.



Par rapport à l'environnement, Il n'y a plus aucune contestation possible sur l'opposition au projet.



Le premier magistrat aura du mal a contre argumenter les compétences de professionnels dans ce domaine.



Pourtant,la DDTM traine des pieds pour effectuer le contrôle ordonné par la préfecture. bizarre, bizarre, vous avez dit ....

et se continuent les travaux !



En ce qui concerne le volet social, c'est effarant de voir le manque de connaissances en la matière de la part "d'élus". On ne devrait pas permettre de reproduire des erreurs et échecs du passé "proche", en construisant les fondations de la fragilité sociale, et, on peut s'interroger quand on projette d'isoler une partie de la population aussi importante en nombre "dite en difficulté économique" comme dans le projet initial des 350 logements, ce qu'il y a vraiment derrière comme dessein !



C'est d'une telle évidence... de confier à un promoteur privé le destin des citoyens pour "leur bien être" comme le dit la pub GGL....

De la philanthropie lucrative



GGL qui n'a pas publié de pub sur le projet. Pourtant, il y a déjà de nombreux prétendants au bonheur. Les commerciaux font leur job. Il y a même des visites sur le terrain de gens qui ne savent pas qu'il y a une procédure en cours.



Sur l'aspect "transport", il faudra attendre qu'il y ait des morts.... com d'hab. pour se dire "tiens, on aurait du faire gaffe".... c'est la seule et unique pour laquelle le maintien du pouvoir de ce c.m. aurait un sens. Voir comment on assume les conneries annoncées !



Maintenant, si on peut éviter.... c'est bien aussi !

[SIM ONE]

QUAND L'HOPITAL SE MOQUE DE LA CHARITE!!!!!!!



Lorsque l'on compare les deux courriers, celui émanant du chef de la municipalité et la réponse des riverains: il n'y a pas photo.



Le courrier de la mairie retrace des mots comme: OPPOSANTS REVANCHARDS, MENTEURS;



Celui ,en réponse, des riverains, en dehors du fait qu'il soit très bien écrit et sans faute d'orthographe, reflète,, sans aucun doute, aucun esprit tel que dans la lettre "du Chef" à base d'ingrédients qui ne sont pas cités par hasard et il voudrait que l'on comprenne que c'est dans un but d'apaisement.



Mais non, on en est loin: le vinaigre et le miel n'ont jamais fait bon ménage que je sache.

Et si ce n'est pas un langage préélectoral ça y ressemble à s'y méprendre

.

Ce n'est pas parce que l'on est pas aux manettes que l'on a pas le droit de s'exprimer.



C'est une lettre "revancharde" envoyée aux riverains ;qui essaye de ratisser large justement avec la perspective des élections! Les menaces y sont en bonne place, et ça ce n'est pas de la revanche ses avertissements tonitruants?

Là on se moque de qui? des futurs électeurs qui, eux, ne s'y tromperont pas.



HAUTS LS COEURS ( J - 148 )



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[habitants du Pon]

Monsieur le Maire,





Suite à votre courrier du 25 octobre, adressé aux habitants du quartier du Pont, ces derniers vous invitent à les rencontrer sur leur lieu de vie, devant le chantier en cours qui ressemble fortement à une carrière d'extraction de pierres que vous ne manquerez pas d'apercevoir, à coté du futur bassin de rétention.



Cela permettra d'apporter de vive voix des explications complémentaires, notamment nous n'avons lu aucune réponse aux inquiétudes des habitants locaux et de certains Villeneuvois du centre ville.



L'urbanisation de ce lotissement se localise dans une impasse avec une seule et unique issue.

En cas de sinistre sur le lieu précis, dans une impasse, et de blocage de la circulation il parait impossible au secours d'agir efficacement,

Et l'on s'interrogeait s'il n'y avait pas une erreur manifeste d'appréciation à la lecture de l'article R111-4 modifié part décret n° 99-266 du 1 avril 1999- art. 1 JORF 9 avril 1999 :

"Le permis de construire peut être refusé sur des terrains qui ne seraient pas desservis par des voies publiques ou privées dans des conditions répondant à l'importance ou à la destination de l'immeuble ou de l'ensemble d'immeubles envisagé, et notamment si les caractéristiques de ces voies rendent difficile la circulation ou l'utilisation des engins de lutte contre l'incendie.

Il peut également être refusé si les accès présentent un risque pour la sécurité des usagers des voies publiques ou pour celle des personnes utilisant ces accès. Cette sécurité doit être appréciée compte tenu, notamment, de la position des accès, de leur configuration ainsi que de nature et de l'intensité du trafic."



En effet, pour se rendre au centre ville (école, services publics, commerces de proximité, loisirs, sport, etc) Il faut alors s'engager sur la D 185 par un croisement extrêmement dangereux.



Pour se rendre à Montpellier, il faut emprunter la D 612, saturée aux heures de pointe et dont le flux routier était décompté à 22000 véhicules jours, il y a déjà quatre ans par les service compétents du conseil général, avec l'impossibilité de faire réduire la vitesse au passage du quartier afin d'assurer un flux routier constant.



Vous n'ignorez pas la zone répertoriée fortement accidentogène du Pont, puisque vous avez rappelé lors d'une réunion publique qu'un enfant du quartier était décédé à cet endroit en utilisant les transports en commun.

Les aménagements qui ont fait suite sont totalement inefficaces, et, vous avez été informé, par courrier, qu'une situation similaire s'était reproduite il y a quatre ans, cette fois sans drame.



Bien sûr, l'on ne compte pas le nombre de décès et accidents physiques et matériels sur ce lieu précis.



A la présentation initiale du projet des 350 logements, vous avez annoncé comme solution à ce problème la mise en sens unique de la D185 E, avec comme effet de contraindre les habitants du Pont à effectuer un déplacement supplémentaire de 3,7 km en repassant par la D185 (maison d'arrêt) saturée et accidentogène, soit un trajet de 7 kms pour se rendre à l'école Bouissinet.



En ce qui concerne les logements sociaux ,même si les riverains du Pont, citoyens, parents, ont pleinement conscience de l'importance fondamentale d'une politique d'accès au logement et en particulier du besoin d'habitats sociaux, ils ne peuvent valider un projet qui éloigne volontairement une population des services publics (écoles, administrations, ) des loisirs (sports, culture) et commerces de proximité.



Il est à noter, qu'une partie de la population est éligible à l'accès aux logement sociaux, en raison de critères liés à une situation économique « dite précaire ». Les travailleurs sociaux dans la problématique de l'insertion sociale et économique ont toujours intégré le manque de mobilité comme un frein, en préconisant l'accès aux transport en commun.

La saturation actuelle et future des axes routiers ne permet pas un transport en commun fiable et oblige cette population à disposer de son propre véhicule occasionnant des frais supplémentaires. Ils devront emprunter un parcours accidentogène et saturé et donc, en corollaire, accroitre encore ce risque aux résidents actuels.

Les riverains du Pont pourraient vous apporter quelques éléments concrets vécus sur ce sujet.

85 logements se sera de 150 à 180 véhicules supplémentaires.



L'urbanisation intensive à proximité immédiate du puisage du Flès constitue un risque potentiel de pollution de l'eau potable de tous les Villeneuvois.



Le lotissement est situé dans la Zone Naturelle d'Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique de la LAUZE 3429 3020 qui indique que pour préserver ce patrimoine il faut limiter l'urbanisation (en totale contradiction avec ce type de projet.



Les travaux engagés, destructeurs, sont vécus par les riverains et certains Villeneuvois comme une agression d'une violence extraordinaire, avec un mépris de la population locale.



Un collectif a été constitué afin de saisir la justice et d'engager une procédure, le jugement définitif ne sera rendu qu'au mois d'Avril 2014. Lors de l'audience en référé au mois d'Aout, la magistrate n'a pas remis en cause le fondement de la démarche, a été attentive aux arguments mais n'a pu rendre un avis favorable à la suspension des travaux faute de jurisprudence.



Vous noterez que nous ne faisons aucun commentaire sur « l 'aspect politicien » largement développé dans votre courrier, en vous laissant la responsabilité de vos insinuations.



Dans l'attente de vous rencontrer physiquement, veuillez agréer, Monsieur le Maire l'expression de nos sentiments les meilleurs.







Habitants du quartier